L'image de la femme sans tête qui signalait un ancien bar, rue de la Colline,
a été interprétée de façon fantaisiste par le peintre :
il a tout d'abord transformé la lanterne qu'elle tenait à la main (symbole gênant ?), par un bouquet de fleurs
et a imaginé une légende fantaisiste que la mairie a cru bon de placarder sur la façade,
erreur loin de la réalité historique que les passants répercutent comme la vérité.
Trahison de la mémoire du quartier !