tel est le ressenti de Stéphane Bern informé de ce qui se passe sur la chantier.
C'est bien gentil de compatir, mais ses mots n'ont pas arrêté l'avancée destructrice des engins de chantier.
Il aurait fallu des actes, pas des mots !
Dans l'article du 20 octobre, des mots qui n'empêcheront pas la destruction d'une partie du site !
Et le 27 octobre, malgré la bonne volonté de Stéphane Bern, qui assure que le dossier avance
on ne peut s'empêcher de douter de l'avenir de ces vestiges